Les symboles druidiques au sein de l’architecture romane
On sait que plusieurs églises ont été construites sur d’anciens sites celtiques (par exemple Notre-Dame de Paris ou la cathédrale de Chartres). On a la chance de retrouver des symboles cachés au sein de l’architecture sacrée. Ceux-ci, occultés de par leur symbolique invisible, ne pouvait être trouvés que sur le plan énergétique; plan qui fut exploité par certains géobiologues comme Jacques Bovin et Georges Pratt. Ces géobiologues ont su nous révéler cette présence symbolique et nous ré-éveiller à cette réalité subtile qu’est le monde énergétique au sein des bâtiments religieux, mais bien présente, si on sait prendre le temps de ressentir ce que le lieu a à nous communiquer.
Lors de la fin de l’Empire Romain au VIe siècle, beaucoup de Druides se réfugièrent en Irlande, berceau du celtisme, tandis que d’autres se convertirent et finirent Ermite avec leur savoir druidique. Le pape Grégoire 1er, en l’an 590, et afin de réunifier et de prêcher la nouvelle église, fit venir St-Colomban en France . Il vint accompagner des moines bâtisseurs anciens Druides ou, pour certains, Bardes. Il est à noter que St-Colomban eut une formation dans un collège Druidique en Irlande.
Merlin l’enchanteur aurait été un maître d’œuvre (Christian Jacques)
L’ordre de St-Benoît, le précurseur du compagnonnage
L’ordre de St-Benoît pris vraiment de l’expansion lors de la réforme par l’abbé Benoit qui comprenait l'implantation de l’ordre de St-Benoît dans les monastères au VIIIe siècle, c'est ainsi que l’abbé fit entrer dans certains couvents des initiés au Druidisme. Les premiers maîtres d’œuvre furent formés dans ces abbayes, qui n'étaient autre chose que de véritables écoles d’architecture dirigées par des moines. C'est que les bénédictins avaient, au fil des années, accumulé divers textes antiques portant sur l'architecture, l'astrologie, la médecine et la science. C'est de ces abbayes que découlera plus tard le compagnonnage.